Serge Bret-Morel proposera quelques exemples surprenants et qui donnent une autre dimension aux listings sans fin des erreurs, contradictions et autres énormités qu’on trouve dans cette discipline.
Pourquoi l’astrologue est-il satisfait même quand il est trompé par son propre système ? Quelle est cette étrange « fécondité du faux » ? Le sceptique voit ici la nécessité d’explications alternatives (bien plus basiques qu’une influence astrale) au traditionnel mais stérile « ça marche » des astro­logues. L’alternative est féconde, selon l’adage sceptique.
Dans quelle mesure l’astrologie trouve-t-elle une certaine force, et même une certaine robustesse, dans le fait qu’elle est totalement déconnectée du monde réel ?
Est-ce que, justement, « ça marche parce que c’est faux ? » plutôt que « parce que c’est vrai » ? La question des biais nous sera bien utile pour penser l’irrationnel et opérer quelques renversements des problématiques habituelles.