hypothese br : energie noire et masse noire
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hypothese br : energie noire et masse noire
L’énergie noire et la matière noire sont deux des plus grandes énigmes de la cosmologie moderne. L’énergie noire, responsable de l’accélération de l’expansion de l’univers, et la matière noire, qui maintient la cohésion des galaxies, représentent des phénomènes que la physique actuelle peine à expliquer.
L’hypothèse BR propose une solution innovante : la densité des gravitons pourrait être le facteur clé pour comprendre ces phénomènes. En postulant que la densité des gravitons varie selon l’environnement, cette théorie pourrait expliquer l’énergie noire, la matière noire, et d’autres comportements gravitationnels observés dans l’univers.
La Densité des Gravitons et l’Énergie Noire : Une Pression Gravitationnelle
Selon l’hypothèse BR, l’énergie noire pourrait être interprétée comme une manifestation de la densité des gravitons dans l’espace intergalactique :
Dans les vastes étendues intergalactiques, la densité de gravitons serait plus faible, réduisant la force de gravité ressentie entre les grandes structures et permettant à l’espace de s’étendre plus rapidement.
Cette faible densité pourrait contribuer à l’accélération de l’expansion cosmique, un effet que l’on associe actuellement à l’énergie noire.
Ainsi, l’énergie noire ne serait pas due à une force mystérieuse, mais à une diminution progressive de la densité de gravitons dans les régions peu denses de l’univers, permettant une expansion accélérée. Cette interprétation fournit une solution alternative au modèle classique, en expliquant l’énergie noire par la densité gravitationnelle elle-même.
La Densité Accrue de Gravitons et la Matière Noire : Une Explication des Anomalies Gravitationnelles
La matière noire, bien qu’invisible, exerce une force gravitationnelle qui permet aux galaxies et aux amas de galaxies de maintenir leur cohésion. Dans cette hypothèse, la matière noire pourrait être expliquée par une densité accrue de gravitons dans certaines régions, sans nécessiter l’existence de particules invisibles :
Autour des galaxies, une densité élevée de gravitons pourrait renforcer l’attraction gravitationnelle ressentie, permettant de maintenir la cohésion des étoiles et de la matière.
Cette densité accrue de gravitons pourrait créer un effet gravitationnel supplémentaire, reproduisant les effets de la matière noire sans l’existence d’une matière invisible.
En postulant que la densité de gravitons varie autour des grandes structures, cette hypothèse fournit une explication élégante à la matière noire, en la reliant à des variations de la densité de gravitons et en offrant une alternative aux particules de matière noire hypothétiques.
Cartographier la Densité des Gravitons dans l’Univers
Si la densité des gravitons est responsable de l’énergie noire et de la matière noire, cela suggère qu’il serait possible de cartographier la densité des gravitons dans l’univers en observant les effets gravitationnels dans différentes régions :
Des études des mouvements des étoiles dans les galaxies, ainsi que des déformations de l’espace autour des amas de galaxies, pourraient fournir des indications sur la répartition de la densité des gravitons.
Les observations de la vitesse d’expansion de l’univers dans des zones de densité gravitationnelle variable permettraient de déduire où la densité de gravitons est faible (associée à l’énergie noire) et où elle est élevée (associée à la matière noire).
Ces observations pourraient servir de base pour une cartographie gravitationnelle à grande échelle, permettant de visualiser la distribution de la densité des gravitons et d’obtenir des informations précises sur l’influence gravitationnelle dans l’univers.
La Densité des Gravitons et la Structure des Galaxies
Dans cette hypothèse, la densité des gravitons pourrait également expliquer des phénomènes gravitationnels observés dans les galaxies :
Dans les galaxies, la densité de gravitons serait suffisante pour renforcer l’attraction gravitationnelle interne, permettant de stabiliser les étoiles dans leurs orbites, même en périphérie.
Cette densité de gravitons accrue pourrait également expliquer les mouvements des bras galactiques, qui se comportent comme si des quantités invisibles de matière exerçaient une attraction gravitationnelle supplémentaire.
Cette approche résout l’énigme des vitesses de rotation des galaxies, souvent plus élevées que prévues, en attribuant ces vitesses à une densité de gravitons élevée dans les régions périphériques.
Les Gravitons comme Régulateurs de la Gravité Locale et Cosmique
L’hypothèse BR postule que la densité de gravitons régule la force gravitationnelle ressentie à la fois localement (au sein des galaxies) et globalement (dans l’expansion de l’univers). Cette régulation pourrait :
Expliquer pourquoi la gravité semble plus intense dans certaines régions de l’espace, où la densité de gravitons est élevée.
Justifier l’accélération de l’expansion cosmique, qui serait due à une densité faible de gravitons dans les régions intergalactiques.
En agissant comme régulateur de la gravité, les gravitons deviennent ainsi l’élément central qui unifie les phénomènes gravitationnels locaux et cosmologiques, répondant à la fois aux questions de la matière noire et de l’énergie noire.
Expérimentations et Observations pour valider l’Hypothèse
Pour tester l’idée que la densité des gravitons explique la matière noire et l’énergie noire, plusieurs stratégies expérimentales et observationnelles pourraient être employées :
Observation des vitesses de rotation des galaxies pour détecter des régions de densité accrue de gravitons.
Étude des effets de lentille gravitationnelle autour des amas de galaxies pour évaluer si les gravitons peuvent expliquer les forces gravitationnelles supplémentaires.
Analyse de l’expansion de l’univers dans des zones à faible densité galactique pour vérifier si l’accélération correspond à une densité de gravitons plus faible.
Ces observations et expérimentations fourniraient des preuves pour valider l'hypothèse selon laquelle la densité des gravitons module les phénomènes de matière noire et d’énergie noire.
L’hypothèse BR, en introduisant la densité des gravitons comme variable gravitationnelle, offre une explication alternative et unifiée des phénomènes d’énergie noire et de matière noire :
Elle propose que l’énergie noire résulte d’une faible densité de gravitons dans les espaces intergalactiques, permettant l’expansion accélérée de l’univers.
Elle explique la matière noire par une densité accrue de gravitons autour des galaxies, renforçant leur cohésion sans avoir besoin de matière invisible.
Elle ouvre la voie à une cartographie gravitationnelle qui pourrait valider ces hypothèses par des observations et des expérimentations.
En résolvant ces deux grands mystères, la densité des gravitons devient le concept clé pour une nouvelle compréhension de la structure et de l’évolution de l’univers, reliant la gravité locale aux phénomènes cosmologiques à grande échelle.
je suis preneur de vos remarques
L’hypothèse BR propose une solution innovante : la densité des gravitons pourrait être le facteur clé pour comprendre ces phénomènes. En postulant que la densité des gravitons varie selon l’environnement, cette théorie pourrait expliquer l’énergie noire, la matière noire, et d’autres comportements gravitationnels observés dans l’univers.
La Densité des Gravitons et l’Énergie Noire : Une Pression Gravitationnelle
Selon l’hypothèse BR, l’énergie noire pourrait être interprétée comme une manifestation de la densité des gravitons dans l’espace intergalactique :
Dans les vastes étendues intergalactiques, la densité de gravitons serait plus faible, réduisant la force de gravité ressentie entre les grandes structures et permettant à l’espace de s’étendre plus rapidement.
Cette faible densité pourrait contribuer à l’accélération de l’expansion cosmique, un effet que l’on associe actuellement à l’énergie noire.
Ainsi, l’énergie noire ne serait pas due à une force mystérieuse, mais à une diminution progressive de la densité de gravitons dans les régions peu denses de l’univers, permettant une expansion accélérée. Cette interprétation fournit une solution alternative au modèle classique, en expliquant l’énergie noire par la densité gravitationnelle elle-même.
La Densité Accrue de Gravitons et la Matière Noire : Une Explication des Anomalies Gravitationnelles
La matière noire, bien qu’invisible, exerce une force gravitationnelle qui permet aux galaxies et aux amas de galaxies de maintenir leur cohésion. Dans cette hypothèse, la matière noire pourrait être expliquée par une densité accrue de gravitons dans certaines régions, sans nécessiter l’existence de particules invisibles :
Autour des galaxies, une densité élevée de gravitons pourrait renforcer l’attraction gravitationnelle ressentie, permettant de maintenir la cohésion des étoiles et de la matière.
Cette densité accrue de gravitons pourrait créer un effet gravitationnel supplémentaire, reproduisant les effets de la matière noire sans l’existence d’une matière invisible.
En postulant que la densité de gravitons varie autour des grandes structures, cette hypothèse fournit une explication élégante à la matière noire, en la reliant à des variations de la densité de gravitons et en offrant une alternative aux particules de matière noire hypothétiques.
Cartographier la Densité des Gravitons dans l’Univers
Si la densité des gravitons est responsable de l’énergie noire et de la matière noire, cela suggère qu’il serait possible de cartographier la densité des gravitons dans l’univers en observant les effets gravitationnels dans différentes régions :
Des études des mouvements des étoiles dans les galaxies, ainsi que des déformations de l’espace autour des amas de galaxies, pourraient fournir des indications sur la répartition de la densité des gravitons.
Les observations de la vitesse d’expansion de l’univers dans des zones de densité gravitationnelle variable permettraient de déduire où la densité de gravitons est faible (associée à l’énergie noire) et où elle est élevée (associée à la matière noire).
Ces observations pourraient servir de base pour une cartographie gravitationnelle à grande échelle, permettant de visualiser la distribution de la densité des gravitons et d’obtenir des informations précises sur l’influence gravitationnelle dans l’univers.
La Densité des Gravitons et la Structure des Galaxies
Dans cette hypothèse, la densité des gravitons pourrait également expliquer des phénomènes gravitationnels observés dans les galaxies :
Dans les galaxies, la densité de gravitons serait suffisante pour renforcer l’attraction gravitationnelle interne, permettant de stabiliser les étoiles dans leurs orbites, même en périphérie.
Cette densité de gravitons accrue pourrait également expliquer les mouvements des bras galactiques, qui se comportent comme si des quantités invisibles de matière exerçaient une attraction gravitationnelle supplémentaire.
Cette approche résout l’énigme des vitesses de rotation des galaxies, souvent plus élevées que prévues, en attribuant ces vitesses à une densité de gravitons élevée dans les régions périphériques.
Les Gravitons comme Régulateurs de la Gravité Locale et Cosmique
L’hypothèse BR postule que la densité de gravitons régule la force gravitationnelle ressentie à la fois localement (au sein des galaxies) et globalement (dans l’expansion de l’univers). Cette régulation pourrait :
Expliquer pourquoi la gravité semble plus intense dans certaines régions de l’espace, où la densité de gravitons est élevée.
Justifier l’accélération de l’expansion cosmique, qui serait due à une densité faible de gravitons dans les régions intergalactiques.
En agissant comme régulateur de la gravité, les gravitons deviennent ainsi l’élément central qui unifie les phénomènes gravitationnels locaux et cosmologiques, répondant à la fois aux questions de la matière noire et de l’énergie noire.
Expérimentations et Observations pour valider l’Hypothèse
Pour tester l’idée que la densité des gravitons explique la matière noire et l’énergie noire, plusieurs stratégies expérimentales et observationnelles pourraient être employées :
Observation des vitesses de rotation des galaxies pour détecter des régions de densité accrue de gravitons.
Étude des effets de lentille gravitationnelle autour des amas de galaxies pour évaluer si les gravitons peuvent expliquer les forces gravitationnelles supplémentaires.
Analyse de l’expansion de l’univers dans des zones à faible densité galactique pour vérifier si l’accélération correspond à une densité de gravitons plus faible.
Ces observations et expérimentations fourniraient des preuves pour valider l'hypothèse selon laquelle la densité des gravitons module les phénomènes de matière noire et d’énergie noire.
L’hypothèse BR, en introduisant la densité des gravitons comme variable gravitationnelle, offre une explication alternative et unifiée des phénomènes d’énergie noire et de matière noire :
Elle propose que l’énergie noire résulte d’une faible densité de gravitons dans les espaces intergalactiques, permettant l’expansion accélérée de l’univers.
Elle explique la matière noire par une densité accrue de gravitons autour des galaxies, renforçant leur cohésion sans avoir besoin de matière invisible.
Elle ouvre la voie à une cartographie gravitationnelle qui pourrait valider ces hypothèses par des observations et des expérimentations.
En résolvant ces deux grands mystères, la densité des gravitons devient le concept clé pour une nouvelle compréhension de la structure et de l’évolution de l’univers, reliant la gravité locale aux phénomènes cosmologiques à grande échelle.
je suis preneur de vos remarques
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Je vois que tu es une explosion d'idées !
Avoir des idées, c'est très excitant. J'en ai beaucoup aussi mais la différence entre nous est que je n'y crois pas (c'est un jeu) alors que toi tu as l'air d'y croire (bien que tu t'exprimes au conditionnel). Je dis bien "tu as l'air" car en fait je n'en sais rien…
En ce qui concerne les tiennes, je t'ai dit (et je confirme) que je ne peux pas te suivre : elles sont trop prolifiques, au dessus de mes capacités.
Il est possible que ton hypothèse soit juste, et donc il faut la soumettre à des astrophysiciens "patentés".
Comme j'aime bien jouer, je peux te donner un exemple de mes délires.
L'Univers n'est fait que de matière. On ne trouve exceptionnellement de l'antimatière que sans des rayons cosmiques, et celle que l'on sait fabriquer.
On parle beaucoup aujourd'hui de "rupture de symétrie", symétrie qui prend une place de plus en plus importante dans les théories, et cela depuis Poincaré.
Notre Univers ne serait-il que le "rescapé" d'une formidable annihilation de matière et d'antimatière issue d'une rupture de symétrie à l'avantage de la matière ? Supposons que oui…
On sait qu'une telle annihilation se transforme en lumière, de sorte que tout l'espace est rempli de ses photons errant en tous sens dont l'énergie totale équivaut au total des masses de la matière et de l'antimatière disparues.
Serait-ce l'énergie noire calculée par les physiciens ? Bien qu'elle soit très grande, sa distribution dans l'immense espace de notre Univers est peut-être trop faible pour pouvoir être détectée par nos capteurs actuels.
D'une certaine manière ces photons (particules existantes) peuvent être regardés comme tes gravitons (particules hypothétiques), mais je ne m'aventure pas à des interprétations comme les tiennes qui, je le répète, me dépassent.
J'ai toujours dit, et je le maintiens, qu’on s'amuse bien sur notre Forum !
Avoir des idées, c'est très excitant. J'en ai beaucoup aussi mais la différence entre nous est que je n'y crois pas (c'est un jeu) alors que toi tu as l'air d'y croire (bien que tu t'exprimes au conditionnel). Je dis bien "tu as l'air" car en fait je n'en sais rien…
En ce qui concerne les tiennes, je t'ai dit (et je confirme) que je ne peux pas te suivre : elles sont trop prolifiques, au dessus de mes capacités.
Il est possible que ton hypothèse soit juste, et donc il faut la soumettre à des astrophysiciens "patentés".
Comme j'aime bien jouer, je peux te donner un exemple de mes délires.
L'Univers n'est fait que de matière. On ne trouve exceptionnellement de l'antimatière que sans des rayons cosmiques, et celle que l'on sait fabriquer.
On parle beaucoup aujourd'hui de "rupture de symétrie", symétrie qui prend une place de plus en plus importante dans les théories, et cela depuis Poincaré.
Notre Univers ne serait-il que le "rescapé" d'une formidable annihilation de matière et d'antimatière issue d'une rupture de symétrie à l'avantage de la matière ? Supposons que oui…
On sait qu'une telle annihilation se transforme en lumière, de sorte que tout l'espace est rempli de ses photons errant en tous sens dont l'énergie totale équivaut au total des masses de la matière et de l'antimatière disparues.
Serait-ce l'énergie noire calculée par les physiciens ? Bien qu'elle soit très grande, sa distribution dans l'immense espace de notre Univers est peut-être trop faible pour pouvoir être détectée par nos capteurs actuels.
D'une certaine manière ces photons (particules existantes) peuvent être regardés comme tes gravitons (particules hypothétiques), mais je ne m'aventure pas à des interprétations comme les tiennes qui, je le répète, me dépassent.
J'ai toujours dit, et je le maintiens, qu’on s'amuse bien sur notre Forum !
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Le big bang me gène car se pose la question de l'avant big bang.
j'ai une vision alternative à l'origine de l'univers
Dans mon hypothèse, l'univers pourrait ne pas être né d'un événement unique comme le Big Bang, mais plutôt d'un processus cyclique ou d'une dynamique continue où la densité des gravitons joue un rôle central. Voici comment cela peut s'appliquer à l'antimatière :
Plutôt que de supposer que matière et antimatière ont été créées simultanément lors du Big Bang, on pourrait envisager un processus où ces particules émergent constamment dans des régions spécifiques de l'univers, influencées par des variations locales de ρg.
La densité des gravitons pourrait interagir différemment avec la matière et l'antimatière, créant une asymétrie qui explique pourquoi la matière domine aujourd'hui.
Si la densité des gravitons influence la stabilité des particules, elle pourrait favoriser la matière par rapport à l'antimatière. Par exemple, une zone de densité élevée de gravitons pourrait ralentir ou inhiber l'annihilation de la matière tout en favorisant celle de l'antimatière.
La matière et l'antimatière pourraient apparaître de manière locale et continue dans l'univers, mais leur répartition serait influencée par des gradients de densité des gravitons. Cela pourrait expliquer pourquoi l'univers observable est principalement constitué de matière.
Même sans Big Bang, les photons résiduels provenant d'annihilations matière-antimatière pourraient être présents dans l'univers :
Les photons, souvent associés au rayonnement fossile dans le cadre du Big Bang, pourraient être interprétés comme des signatures d'annihilations locales ou de processus dynamiques liés à la densité des gravitons.
La diffusion isotrope de ces photons pourrait refléter une densité diffuse de gravitons (ρg), contribuant à l'accélération de l'expansion cosmique.
Mon rejet du Big Bang ouvre la voie à des scénarios où l'univers est éternel ou cyclique. Mais la tu vas dire que je vais trop loin !
J'aimerais bien etre en relation avec des astrophysiciens pour contredire mon hypothèse mais hélas ... je n'ai rencontré personne.
Au plaisir de te lire
Avec la densité des gravitons comme moteur cosmique :
Les variations de ρg dans l'univers pourraient expliquer les cycles de création-destruction de la matière, sans nécessiter un "commencement" absolu.
La matière annihilée pourrait se transformer en photons et gravitons, contribuant à un équilibre dynamique où l'univers se renouvelle constamment.
j'ai une vision alternative à l'origine de l'univers
Dans mon hypothèse, l'univers pourrait ne pas être né d'un événement unique comme le Big Bang, mais plutôt d'un processus cyclique ou d'une dynamique continue où la densité des gravitons joue un rôle central. Voici comment cela peut s'appliquer à l'antimatière :
Plutôt que de supposer que matière et antimatière ont été créées simultanément lors du Big Bang, on pourrait envisager un processus où ces particules émergent constamment dans des régions spécifiques de l'univers, influencées par des variations locales de ρg.
La densité des gravitons pourrait interagir différemment avec la matière et l'antimatière, créant une asymétrie qui explique pourquoi la matière domine aujourd'hui.
Si la densité des gravitons influence la stabilité des particules, elle pourrait favoriser la matière par rapport à l'antimatière. Par exemple, une zone de densité élevée de gravitons pourrait ralentir ou inhiber l'annihilation de la matière tout en favorisant celle de l'antimatière.
La matière et l'antimatière pourraient apparaître de manière locale et continue dans l'univers, mais leur répartition serait influencée par des gradients de densité des gravitons. Cela pourrait expliquer pourquoi l'univers observable est principalement constitué de matière.
Même sans Big Bang, les photons résiduels provenant d'annihilations matière-antimatière pourraient être présents dans l'univers :
Les photons, souvent associés au rayonnement fossile dans le cadre du Big Bang, pourraient être interprétés comme des signatures d'annihilations locales ou de processus dynamiques liés à la densité des gravitons.
La diffusion isotrope de ces photons pourrait refléter une densité diffuse de gravitons (ρg), contribuant à l'accélération de l'expansion cosmique.
Mon rejet du Big Bang ouvre la voie à des scénarios où l'univers est éternel ou cyclique. Mais la tu vas dire que je vais trop loin !
J'aimerais bien etre en relation avec des astrophysiciens pour contredire mon hypothèse mais hélas ... je n'ai rencontré personne.
Au plaisir de te lire
Avec la densité des gravitons comme moteur cosmique :
Les variations de ρg dans l'univers pourraient expliquer les cycles de création-destruction de la matière, sans nécessiter un "commencement" absolu.
La matière annihilée pourrait se transformer en photons et gravitons, contribuant à un équilibre dynamique où l'univers se renouvelle constamment.
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Le big-bang ne veut pas dire forcément "début" de l'Univers. Il peut avoir été "un moment" de l'Univers. Il y aurait alors eu un avant-big-bang et, effectivement, un possible destin cyclique. L'accélération de l'expansion va contre cette hypothèse, mais cela est peut-être trop vite dit. Quand je regarde l'évolution des données récoltées, je me dis que l'on n'est que dans du provisoire.
J'évoque ces aspects dans la nouvelle édition de mon livre "Voyage dans la Physique Moderne" que j'ai envoyé très récemment à la SAB pour sa bibliothèque.
Si tu ne vas pas au-devant des astrophysiciens, comme moi tu ne rencontreras personne. Et pourquoi veux-tu que ce soit pour te contredire ?
Je me contente de pédaler dans le vide, et ça m'amuse beaucoup ! (Il faut que je voie un psy...)
J'évoque ces aspects dans la nouvelle édition de mon livre "Voyage dans la Physique Moderne" que j'ai envoyé très récemment à la SAB pour sa bibliothèque.
Si tu ne vas pas au-devant des astrophysiciens, comme moi tu ne rencontreras personne. Et pourquoi veux-tu que ce soit pour te contredire ?
Je me contente de pédaler dans le vide, et ça m'amuse beaucoup ! (Il faut que je voie un psy...)
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Je m'excuse par avance si mes propos peuvent sembler un peu secs, mais je pense qu'une mise au point est nécessaire.
Pour commencer, je me présente : Cyril Richard, chercheur en physique au CNRS et membre de la SAB depuis 2015.
Il apparaît que vous débordez d'idées, et que cet enthousiasme vous conduit à proposer des hypothèses visant à répondre aux grandes questions cosmologiques. Il est toutefois important de garder une certaine humilité. Je suis, comme je l'ai dit, physicien dans le domaine moléculaire, et je ne prétendrais jamais formuler une hypothèse capable de révolutionner la cosmologie. Pourquoi ? Parce que, tout comme vous, ma perspective de la cosmologie est essentiellement celle issue de la vulgarisation. Malgré une formation solide en relativité (restreinte et générale) et en physique des particules, cela ne me confère pas la capacité d'apporter des contributions majeures à ce domaine. La cosmologie est une science sérieuse, et prétendre y apporter des réponses sans un cadre rigoureux est une entreprise hasardeuse, à moins de s'appeler Aurélien Barrau, ce que son parcours justifie.
À mon sens, ce forum astrophysique n'est pas l'endroit approprié pour exposer des hypothèses qui ne reposent sur rien de concret, mais plutôt sur une envie de spéculation. Le forum est un lieu sérieux où je ne souhaiterais pas que des jeunes membres de la SAB en formation puissent être exposés à des idées erronées "grâce à la SAB".
Comme je l'ai mentionné, vos hypothèses ne sont basées que sur des opinions personnelles non étayées. Lorsque vous dites, par exemple, "Le big bang me gêne, car se pose la question de l'avant big bang", vous ignorez plusieurs décennies de recherches menées par les plus grands esprits. Le big bang vous dérange peut-être, mais il repose sur un socle observationnel solide. Vous dites aussi ne pas apprécier que le big bang soit considéré comme le commencement, mais aucune théorie sérieuse ne l'affirme. Selon la relativité générale, le big bang marque simplement une limite de validité du modèle, tout comme une singularité dans un trou noir. Avez-vous également un problème avec les trous noirs ?
Je ne prolongerai pas davantage mon propos, car mon intention n'est pas de vous blesser ou d'engager un débat d'opinion (vos arguments étant des opinions). Mon objectif est plutôt de vous faire comprendre que ce n'est pas ici l'endroit pour diffuser de la pseudo-science, particulièrement à une époque où les scientifiques sont déjà fortement remis en question.
Pour commencer, je me présente : Cyril Richard, chercheur en physique au CNRS et membre de la SAB depuis 2015.
Il apparaît que vous débordez d'idées, et que cet enthousiasme vous conduit à proposer des hypothèses visant à répondre aux grandes questions cosmologiques. Il est toutefois important de garder une certaine humilité. Je suis, comme je l'ai dit, physicien dans le domaine moléculaire, et je ne prétendrais jamais formuler une hypothèse capable de révolutionner la cosmologie. Pourquoi ? Parce que, tout comme vous, ma perspective de la cosmologie est essentiellement celle issue de la vulgarisation. Malgré une formation solide en relativité (restreinte et générale) et en physique des particules, cela ne me confère pas la capacité d'apporter des contributions majeures à ce domaine. La cosmologie est une science sérieuse, et prétendre y apporter des réponses sans un cadre rigoureux est une entreprise hasardeuse, à moins de s'appeler Aurélien Barrau, ce que son parcours justifie.
À mon sens, ce forum astrophysique n'est pas l'endroit approprié pour exposer des hypothèses qui ne reposent sur rien de concret, mais plutôt sur une envie de spéculation. Le forum est un lieu sérieux où je ne souhaiterais pas que des jeunes membres de la SAB en formation puissent être exposés à des idées erronées "grâce à la SAB".
Comme je l'ai mentionné, vos hypothèses ne sont basées que sur des opinions personnelles non étayées. Lorsque vous dites, par exemple, "Le big bang me gêne, car se pose la question de l'avant big bang", vous ignorez plusieurs décennies de recherches menées par les plus grands esprits. Le big bang vous dérange peut-être, mais il repose sur un socle observationnel solide. Vous dites aussi ne pas apprécier que le big bang soit considéré comme le commencement, mais aucune théorie sérieuse ne l'affirme. Selon la relativité générale, le big bang marque simplement une limite de validité du modèle, tout comme une singularité dans un trou noir. Avez-vous également un problème avec les trous noirs ?
Je ne prolongerai pas davantage mon propos, car mon intention n'est pas de vous blesser ou d'engager un débat d'opinion (vos arguments étant des opinions). Mon objectif est plutôt de vous faire comprendre que ce n'est pas ici l'endroit pour diffuser de la pseudo-science, particulièrement à une époque où les scientifiques sont déjà fortement remis en question.
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Bonjour Cyril
Ton propos est indiscutable et c'est une bonne douche que tu me donnes (je ne sais pas ce qu'en pense Bruneau.)
Il me semble que tu n'as pas remarqué la différence entre lui et moi, mais peu importe.
Oui le Forum doit être sérieux et non un jouet. Et il m'arrive souvent de le prendre pour un jouet. Et j'ai tort !
Dans ce fil je n'ai pas caché que je jouais, en précisant même que je ne croyais pas en ce que j'écrivais, mais que ça m'amusais.
C'est vrai que je ne suis pas sérieux et tu as bien raison de me mettre au pas.
Et si je te dis "merci", me croiras-tu ?
Ton propos est indiscutable et c'est une bonne douche que tu me donnes (je ne sais pas ce qu'en pense Bruneau.)
Il me semble que tu n'as pas remarqué la différence entre lui et moi, mais peu importe.
Oui le Forum doit être sérieux et non un jouet. Et il m'arrive souvent de le prendre pour un jouet. Et j'ai tort !
Dans ce fil je n'ai pas caché que je jouais, en précisant même que je ne croyais pas en ce que j'écrivais, mais que ça m'amusais.
C'est vrai que je ne suis pas sérieux et tu as bien raison de me mettre au pas.
Et si je te dis "merci", me croiras-tu ?
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Bonjour Georges.
En fait, mes propos s'adressent plutôt à Bruno. En effet, tu l'admets volontiers, tu ne te prends pas au sérieux ; et cela fait toute la différence. Même si bien sûr, c'est plutôt dans une rubrique plus légère (le bistrot ?) qu'il faut s'amuser à voyager dans les méandres de sa pensée.
Bonne soirée Georges .
En fait, mes propos s'adressent plutôt à Bruno. En effet, tu l'admets volontiers, tu ne te prends pas au sérieux ; et cela fait toute la différence. Même si bien sûr, c'est plutôt dans une rubrique plus légère (le bistrot ?) qu'il faut s'amuser à voyager dans les méandres de sa pensée.
Bonne soirée Georges .
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Re: hypothese br : energie noire et masse noire
La SAB est effectivement une association d'amateurs et de diffusion de la Culture Scientifique. Nous sommes des "passeurs de sciences" qui faisons beaucoup de médiation scientifique.
Il y a ici des gens qui veulent apprendre de l'astrophysique et il ne faut pas qu'on les perde dans de longs débats incompréhensibles, car sinon ils ne viendront plus sur ce forum.
Nous pouvons suivre l'actualité de la recherche en cosmologie et faire de notre mieux pour la vulgariser. Nous ne pourrons pas résoudre les controverses scientifiques, si d’ailleurs controverse il y a vraiment.
La cosmologie est une science très complexe, d'un niveau mathématiquement extrêmement élevé. Elle repose sur des décennies de travaux de très nombreux chercheurs. Il y a des choses solidement établies, d'autres moins, des observations qui s'améliorent de plus en plus, et des points qui restent bloquants. Par exemple, on ne sait pas ce qui se passe au niveau des singularités, comment réconcilier relativité générale et physique quantique, mais aussi des mesures qui peuvent sembler incohérentes avec les modèles (cas de ladite « tension de Hubble »).
Il y a cependant ici un biais énorme : certains auteurs portent ces problèmes, de manière plus ou moins racolleuse, au-devant du public, laissant penser que cela pourrait se résoudre à travers des ouvrages de « vulgarisation » (qui masquent largement la réalité de la recherche en question) et nécessite forcément de nouvelles théories disruptives allant à l’encontre de la « sciences établie ». Rien n’est moins sûr. Avant de remettre toute la physique en cause, il faut d’abord donner du temps au temps. Il faudra de nouvelles mesures, plus précises encore. Et des développements théoriques nécessairement complexes. À ce niveau, la physique, ce n’est pas des mots ou des termes ronflants. Ce sont des données, des équations, des démonstrations, des prédictions, de nouvelles mesures, etc.
Et, dans tous les cas, nous pourrons nous faire l’écho de ces recherches, en discuter, tenter de les expliquer. Mais ce n’est pas nous qui les expliquerons.
Je suis également physicien, mais moi aussi en physique moléculaire. Je m’investis en vulgarisation générale, je peux tenter d’expliquer ce que je comprends. Mais je n’ai strictement aucune compétence pour résoudre ses problèmes, que je laisse aux vrais spécialistes.
Enfin, il faut aussi comprendre pourquoi les théories « alternatives » restent souvent sans réponse de la part des physiciens professionnels. Ce n’est pas de l’impolitesse ni de l’ostracisme. Mais nous en recevons tous le temps. J’en reçois aussi, même si ce n’est pas mon domaine. J’en en eu sur des alternatives au Big-Bang, sur l’extraction de l’énergie du vide, sur une théorie de l’Univers à base de puissances de π. Nous n’avons tout simplement pas le temps de regarder tout cela. Notre recherche et nos autres activités nous occupent à plein temps. Et nous savons que nous perdrions notre temps. Il faut être très honnête, même si c’est parfois dur à entendre : la probabilité qu’un individu lambda, hors de toute structure de recherche, hors accès aux grands instruments, hors publications revues par les pairs, …, puisse trouver sur sa table de cuisine la théorie ultime est juste … nulle. Bien sûr, tous les travaux scientifiques doivent être examinés, mais ils faut pour cela qu’ils en respectent des standards : hypothèses et arguments solides, prédictions en accord avec les mesures, corpus théorique en béton armé avec les équations et démonstrations nécessaires, etc. Et, bien entendu, revue par les pairs. Le chemin vers les découvertes scientifiques est très long et semé d’embûches !
Bref (encore un bien long message finalement), mais je dirais à nos lecteurs la chose suivante : si vous êtes passionnés de sciences, d’astrophysique, déployez votre énergie à la vulgariser, à l’expliquer, à faire de la médiation, à débunker les pseudo-sciences. Valorisez la méthode scientifique, l’esprit critique et la rationalité. Le monde actuel en a besoin, mais vraiment besoin. En tous cas, personnellement, c’est ce que je veux faire, et non pas me perdre sur des chemins hors de mes compétences.
Il y a ici des gens qui veulent apprendre de l'astrophysique et il ne faut pas qu'on les perde dans de longs débats incompréhensibles, car sinon ils ne viendront plus sur ce forum.
Nous pouvons suivre l'actualité de la recherche en cosmologie et faire de notre mieux pour la vulgariser. Nous ne pourrons pas résoudre les controverses scientifiques, si d’ailleurs controverse il y a vraiment.
La cosmologie est une science très complexe, d'un niveau mathématiquement extrêmement élevé. Elle repose sur des décennies de travaux de très nombreux chercheurs. Il y a des choses solidement établies, d'autres moins, des observations qui s'améliorent de plus en plus, et des points qui restent bloquants. Par exemple, on ne sait pas ce qui se passe au niveau des singularités, comment réconcilier relativité générale et physique quantique, mais aussi des mesures qui peuvent sembler incohérentes avec les modèles (cas de ladite « tension de Hubble »).
Il y a cependant ici un biais énorme : certains auteurs portent ces problèmes, de manière plus ou moins racolleuse, au-devant du public, laissant penser que cela pourrait se résoudre à travers des ouvrages de « vulgarisation » (qui masquent largement la réalité de la recherche en question) et nécessite forcément de nouvelles théories disruptives allant à l’encontre de la « sciences établie ». Rien n’est moins sûr. Avant de remettre toute la physique en cause, il faut d’abord donner du temps au temps. Il faudra de nouvelles mesures, plus précises encore. Et des développements théoriques nécessairement complexes. À ce niveau, la physique, ce n’est pas des mots ou des termes ronflants. Ce sont des données, des équations, des démonstrations, des prédictions, de nouvelles mesures, etc.
Et, dans tous les cas, nous pourrons nous faire l’écho de ces recherches, en discuter, tenter de les expliquer. Mais ce n’est pas nous qui les expliquerons.
Je suis également physicien, mais moi aussi en physique moléculaire. Je m’investis en vulgarisation générale, je peux tenter d’expliquer ce que je comprends. Mais je n’ai strictement aucune compétence pour résoudre ses problèmes, que je laisse aux vrais spécialistes.
Enfin, il faut aussi comprendre pourquoi les théories « alternatives » restent souvent sans réponse de la part des physiciens professionnels. Ce n’est pas de l’impolitesse ni de l’ostracisme. Mais nous en recevons tous le temps. J’en reçois aussi, même si ce n’est pas mon domaine. J’en en eu sur des alternatives au Big-Bang, sur l’extraction de l’énergie du vide, sur une théorie de l’Univers à base de puissances de π. Nous n’avons tout simplement pas le temps de regarder tout cela. Notre recherche et nos autres activités nous occupent à plein temps. Et nous savons que nous perdrions notre temps. Il faut être très honnête, même si c’est parfois dur à entendre : la probabilité qu’un individu lambda, hors de toute structure de recherche, hors accès aux grands instruments, hors publications revues par les pairs, …, puisse trouver sur sa table de cuisine la théorie ultime est juste … nulle. Bien sûr, tous les travaux scientifiques doivent être examinés, mais ils faut pour cela qu’ils en respectent des standards : hypothèses et arguments solides, prédictions en accord avec les mesures, corpus théorique en béton armé avec les équations et démonstrations nécessaires, etc. Et, bien entendu, revue par les pairs. Le chemin vers les découvertes scientifiques est très long et semé d’embûches !
Bref (encore un bien long message finalement), mais je dirais à nos lecteurs la chose suivante : si vous êtes passionnés de sciences, d’astrophysique, déployez votre énergie à la vulgariser, à l’expliquer, à faire de la médiation, à débunker les pseudo-sciences. Valorisez la méthode scientifique, l’esprit critique et la rationalité. Le monde actuel en a besoin, mais vraiment besoin. En tous cas, personnellement, c’est ce que je veux faire, et non pas me perdre sur des chemins hors de mes compétences.
Vincent
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- Inscription : 14 déc. 2024 16:12
Re: hypothese br : energie noire et masse noire
Merci pour vos messages réfléchis et équilibrés. Vous soulignez avec justesse l'importance de maintenir une approche rigoureuse et méthodique face à des sujets aussi complexes que l'astrophysique. Je partage pleinement votre point de vue sur la nécessité de valoriser la méthode scientifique et de promouvoir une vulgarisation accessible, sans tomber dans le sensationnalisme ou les simplifications excessives. Ceci dit, je peux vous fournir les équations et les méthodes, tests, et observations qui permettraient d'avancer sur la compréhension de cette hypothèse.
Cela dit, je pense qu'il est tout aussi crucial d'encourager les discussions ouvertes et respectueuses, même sur des théories alternatives, tant qu'elles sont abordées avec un esprit critique et une volonté d'apprendre. Si ces discussions ne doivent pas prétendre rivaliser avec les travaux des spécialistes, elles peuvent néanmoins stimuler la curiosité et l'intérêt du public pour la science. Pour beaucoup, la passion pour l'astrophysique naît précisément de ces débats ou hypothèses qui, bien qu’imparfaits, suscitent des questionnements stimulants.
Vous avez raison de rappeler que les avancées scientifiques reposent sur un travail collectif, des données solides, et des décennies de recherche. Cela n'empêche pas les non-spécialistes de participer, à leur niveau, en posant des questions ou en explorant des concepts dans une démarche d’apprentissage. En tant que vulgarisateur, peut-être pourrions-nous trouver un équilibre entre valoriser ce qui est établi et encourager des questionnements qui, même naïfs ou erronés, permettent de faire progresser la compréhension générale ?
Enfin, je trouve particulièrement important de ne pas opposer la recherche professionnelle aux passions individuelles. Nous avons tous commencé quelque part, souvent grâce à une étincelle née d’une idée folle ou d’un livre de vulgarisation. Si nous pouvons canaliser ces enthousiasmes vers des discussions constructives et informées, nous aurons accompli un beau travail de médiation scientifique.
Merci encore pour ce message, qui rappelle l’importance d’un débat sain et respectueux. L'astrophysique, après tout, n’est pas seulement une affaire d’équations : c’est aussi une aventure humaine et intellectuelle qui doit rester accessible et inspirante pour tous.
Cela dit, je pense qu'il est tout aussi crucial d'encourager les discussions ouvertes et respectueuses, même sur des théories alternatives, tant qu'elles sont abordées avec un esprit critique et une volonté d'apprendre. Si ces discussions ne doivent pas prétendre rivaliser avec les travaux des spécialistes, elles peuvent néanmoins stimuler la curiosité et l'intérêt du public pour la science. Pour beaucoup, la passion pour l'astrophysique naît précisément de ces débats ou hypothèses qui, bien qu’imparfaits, suscitent des questionnements stimulants.
Vous avez raison de rappeler que les avancées scientifiques reposent sur un travail collectif, des données solides, et des décennies de recherche. Cela n'empêche pas les non-spécialistes de participer, à leur niveau, en posant des questions ou en explorant des concepts dans une démarche d’apprentissage. En tant que vulgarisateur, peut-être pourrions-nous trouver un équilibre entre valoriser ce qui est établi et encourager des questionnements qui, même naïfs ou erronés, permettent de faire progresser la compréhension générale ?
Enfin, je trouve particulièrement important de ne pas opposer la recherche professionnelle aux passions individuelles. Nous avons tous commencé quelque part, souvent grâce à une étincelle née d’une idée folle ou d’un livre de vulgarisation. Si nous pouvons canaliser ces enthousiasmes vers des discussions constructives et informées, nous aurons accompli un beau travail de médiation scientifique.
Merci encore pour ce message, qui rappelle l’importance d’un débat sain et respectueux. L'astrophysique, après tout, n’est pas seulement une affaire d’équations : c’est aussi une aventure humaine et intellectuelle qui doit rester accessible et inspirante pour tous.