Je n'ai pas pleinement répondu à la question d'Eric.
Pour une réponse " correcte, il y a sans doute fort à faire ". Pistes :
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http://www.insu.cnrs.fr/en/node/4962 :
Émissions inattendues de rayonnements (photons) gammas par des novae classiques
Thursday, 31 July 2014.
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Les novae classiques sont des phénomènes d’explosion thermonucléaire se produisant à la surface d’une naine blanche qui accrète de la matière d’une étoile de la séquence principale dans un système binaire très serré. Les novae symbiotiques quant à elles diffèrent des novae classiques par le fait qu’elles impliquent une géante rouge au lieu d’une étoile de la séquence principale. Pour ces dernières une explication à l’émission de photons gamma pouvait être donnée par la présence des particules accélérées dans le choc entre l'éjecta et le vent dense de l'étoile secondaire.
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Les émissions gamma de ces quatre novae (les trois classiques et la symbiotiques) relativement proches3 sont similaires. Elles ont été détectées pendant une vingtaine de jours. Ces observations suggèrent que toutes les novae sont des émetteurs de photons gamma de haute énergie pendant leur explosion.
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Seules les supernovas dites de type Ia seraient thermonucléaires,
toutes les autres étant à effondrement de cœur ( " et donc à rebondissement pour une large partie de la matière, et effondrement "du" ( ? ) noyau de fer ( ? ) pour donner une étoile à neutrons, voire un trou noir suite à l'effondrement du noyau de neutrons.
Type la : naine blanche qui accumule la matière d'un compagnon de taille intermédiaire ( ? ).
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http://www.larecherche.fr/idees/back-to ... 2009-87783 :
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Les étoiles d'au moins huit fois la masse du Soleil produisent des supernovae dites à effondrement gravitationnel du coeur [fig. 2] . À la fin de leur vie, ces étoiles possèdent un coeur de fer issu de la transformation du silicium issu, lui-même, de la longue chaîne de réactions de fusion nucléaire. Lorsque tout le silicium a été converti en fer, la combustion s'arrête car le fer ne fusionne pas. La très forte gravité à l'oeuvre dans le coeur n'est plus contrebalancée et celui-ci s'effondre sur lui-même. La densité est alors si élevée au centre que les électrons sont absorbés par les protons, qui se transforment en neutrons : une étoile à neutrons, d'une vingtaine de kilomètres de diamètre, apparaît. Le centre du coeur ne pouvant plus se contracter davantage, l'effondrement s'arrête net. S'ensuit alors un rebond : une onde de choc est provoquée par cet arrêt brutal. Elle se propage à travers les couches les plus externes de l'astre et souffle littéralement toute l'étoile. C'est à ce moment-là que l'explosion devient visible à un observateur extérieur, l'étoile mourante devient une supernova. Et dans certains cas extrêmes, le coeur de neutrons est si massif qu'il s'effondre de nouveau sur lui-même et se transforme en trou noir. Ce type de supernova relâche environ 1046 joules, essentiellement sous forme de neutrinos. La partie lumineuse est encore plus infime que pour les supernovae Ia : à peine 0,01 %.
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http://www.cosmovisions.com/su.htm :
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Les explosions thermonucléaires
Le Type Ia - L'interprétation du phénomène de type Ia fait appel à l'explosion d'étoiles de masses intermédiaires. L'idée qui prévaut est celle de la destruction d'une naine blanche consécutive à une accumulation explosive à sa surface d'hydrogène arraché à un compagnon. On se trouve alors dans une situation analogue à celle rencontrée avec les novae. Simplement, ici, l'explosion n'est pas seulement localisée à la surface de la naine. Elle concerne l'ensemble de l'astre. Mille fois plus rares que les novae, de telles supernovae impliquent une énergie un million de fois supérieure. Ces cataclysmes sont alors bien, comme leur nom le suggère, une version superlative du phénomène nova. On observe des supernovae de type Ia dans toutes sortes de galaxies.
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" Des phénomènes avérés n'existent cependant pas. "