Cette vidéo et celle de Klein sont effectivement super-intéressantes.
Toutes-deux soulignent le caractère extrêmement spéculatif des théories traitant de l'origine de l'Univers.
On lit ou on entend dire trop souvent "l'Univers a été ceci ou cela…" ; "Il a commencé par un Big-Bang…" sans douter de son commencement, donc sans imaginer qu'il peut ne pas y avoir eu de commencement ; ce début était "une tête d'épingle hyper-massive et hyper-chaude" ; etc.
J'étais en plein dans le sujet avec mon article titré "Le big-bang : oui mais où et quand ?" paru dans la dernière Bulle (pour celle ou celui que ça peut intéresser, cliquer sur ce lien :
https://drive.google.com/open?id=1AYyqT ... YVHxja19XS )
J'observe que Aurélien Barrau (et non Auréline comme l'écrit Vincent qui a dû être troublé par ses beaux cheveux longs…) penche plutôt, mais évidemment sans l'affirmer…, vers un état momentané de singularité ponctuel.
Je suis plus convaincu par les astrophysiciens qui suggèrent que l'Univers est, et a toujours été, infini, sans commencement ni fin, le big-bang ayant eu lieu partout de la manière que je décris avec l'analogie d'une couverture tricotée très serrée…
Dans ces hypothèses, l'Univers "respirerait" comme un accordéon aux dimensions infinies, et non comme un ressort étiré à l'infini et qui se contracterait sur seulement quelques centimètres pour se retendre à l'infini.