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Comme je l'ai dit antérieurement, les choses paraissent faciles à comprendre à première vue, c-à-dire sans descendre au "fond du fond" des concepts.
Je ne vais prendre qu'un seul exemple : la simultanéité, qui est le point de départ de tout le présent sujet.
Pas si facile que ça à expliquer.
J'ai essayé de le faire à ma manière, et je vous le mets en lien car vos critiques me seraient précieuses (si quelqu'un ouvre le lien... et va jusqu'au bout !!! )
https://drive.google.com/open?id=0B8bMf ... kNkWElUZnM
Georges

Merci Georges pour texte qui est très bien fait et très rigoureux !

C'est un peu le même exemple mais je le préfère à celui d'Etienne Klein. Ici tu montres bien, simplement, la non simultanéité, mais sans mettre des détails numériques qui te feraient tomber dans le même piège que lui ! Et tout est très bien posé.

Merci pour ton avis Vincent. Il me conforte énormément.
La rigueur ? Elle est impitoyable, et donc malheureusement décourageante... C'est elle qui nous démontre que l'on prend facilement nos désirs pour des réalités (combien de fois m'est-ce arrivé ! ) et qu'on est bon à tout recommencer. A cause d'elle, il faut vraiment du courage pour ne pas abandonner. C'est là que l'écriture est salvatrice.
Georges

Georges,
Je suis assez mal placé pour critiquer ta production car ce que j'ai appris je l'ai appris par moi même et avec seul examinateur que mes propre réflexions et contrôles, c'est dire si je me suis corrigé plus d'une fois en lisant et relisant les Maitres en la matière.

En général, pour les sujets ardus, je procède par étape.
Dans le cas que tu exposes, tu fais le ménage dans ce qui pourrait égarer le raisonnement et sur ce point il n'y a pas de critiques.
Tu prends le risque de ne t'adresser qu'à des lecteurs avertis qui apprécieront le décor ainsi planté.
Pour ceux qui débutent et qu'il faut encourager à aller plus loin dans un domaine difficile, cela représentera une première épreuve difficile à franchir donc peu encourageante pour la suite.
Tu vois que je ne me suis pas tenu à ma première affirmation et que j'ai malgré moi commenté ton texte, je le regrette déjà.

Tantôt je pense aux débutants à qui je m'adresse, tantôt à ceux qui ont deja franchi les premières étapes et qui peuvent cohabiter dans le même groupe et chaque fois je tente de réinventer un nouveau langage accessible à tous et à chaque fois je suis imparfait, donc critiquable... Dominique

Et si sur le bateau, A et B sont dos-à-dos plutôt que face-à-face, ça change quelque chose !?
Tout est relatif, me direz-vous ?
Bon allez, pataper, je sors...

Dominique,
Merci de ton attention.
D'abord, on a un sacré point commun : nous nous sommes formés en solitaires. J'ai bossé totalement en solitaire.
Ensuite, tout est une question de cible.
Tu cibles les débutants encore un peu immature en réflexion (d'après ce que je comprends, car mon texte ci-dessus n'est que pure réflexion. Il ne comporte aucun terme matheux ni notion lycéenne un peu évoluée) Et tu as raison. Notre sujet est un long escalier dont la première marche est décisive.
Mon livre cible le "niveau bac" (on est à l'entresol...) et strictement rien de plus. J'ai visé ça pour plusieurs raisons.
1 - Il est difficile de monter haut avec un bagage moindre (paradoxe : plus t'es chargé, plus facilement tu montes !!! Faut bien rigoler un peu de temps en temps...)
En me limitant à ce niveau bac (je précise "niveau" car ce n'est qu'une question de notions qui n'ont pas besoin d'être certifiées), j'en ai bavé...
2 - Ce niveau est celui de "l'honnête homme" de Montaigne, à la tête bien faite mais surtout pas pleine... prêt à aborder ce domaine si sa curiosité le titille.
Voilà ma motivation.
Georges